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Sommaire

- I/Le Système solaire.
/-1) Les planètes internes.
/-2) Les planètes externes.

- II/ Les astres vagabonds.
/-1) Les comètes.
a) Déscription et composition.
b) Origine et trajectoires des comètes.
/-2) Les météores.
a) Origine.
b) Collisions.

-III/ Populations d'étoiles.
/-1) Galaxie.
a) Amas de galaxies.
/-2) Systèmes d'étoiles.
a) Amas stellaires.

-I/Le Système solaire :

/-1) Les planètes internes :

Mercure est la planète la plus proche du Soleil.
Diamètre: 4 880 km.
Date de découverte: Antiquité.
Atmosphère: Aucune.
Distance par rapport au Soleil: Environ 58 millions km.
Durée de révolution (Durée d'un tour autour du Soleil): 88 jours terrestres (C'est-à-dire que la durée est traduite en jours sur Terre).
Durée de rotation sur elle-même: 59 jours terrestres.
Observation à l'oeil nu: Qu'à l'aube et au crépuscule sans téléscope.
Surnom: Aucun.
Satellite(s) naturel(s): Aucun.

Vénus est la deuxième planète de notre système solaire.
Diamètre: 12 100 km.
Date de découverte: 1610.
Atmosphère: 96.5% de dioxyde de carbone et 3.5% d'autres gaz.
Distance par rapport au Soleil: 108 millions km.
Durée de révolution: 224.7 jours terrestres.
Durée de rotation sur elle-même: 243 jours terrestres.
Observation à l'oeil nu: Distinction par certaines phase similaires à celles de la Lune.
Surnom: "Etoile du matin" ou "Etoile du soir".
Température règnante: 470°C.

La Terre est la troisième planète de notre système solaire.
Date de formation: Il ya environ 4.6 Milliard d'années.
Diamètre: 12 756 km.
Masse: 5.9742 x( 10 Puissance 12 ) kg soit 5 974 200 000 000 kg ( 5 miiliards de tonnes ).
Distance pas rapport au Soleil: Environ 149.5 millions de km.
Atmoshère: 78% d'Azote; 21% d'Oxygène et 1% d'autre gaz.
Hauteur de l'atmosphère: Environ 10 000 km d'altitude.
Composition de l'atmosphère ( Nom - Distance ( en km d'altitude ) ): Troposphère - de 0 à 20 km; Couche d'ozone - de 20 à 20 km; Stratosphère - de 20 à 50 km; Mésopsphère - de 50 à 80 km; Termosphère - de 80 à 1 000 km; Exosphère - de 1 000 à environ 10 000 km.
Satellite(s) naturel: 1 ( Lune ).
Durée de révolution: 1 an ( 364.256 jours jours terrestres ).
Durée de rotation: 23.9345 heures ( Soit 1 jour terrestre ).
Pesanteur à la surface ( Attirance par rapport à l'astre ): 9.78m/s².
Superficie: 510.1 millions de km².
Date d'apparition des premières vie sur Terre ( Théorie ): Il y a 2 milliards d'années.

Mars est la quatrième planète de notre système solaire.
Diamètre: 6378 km.
Durée de révolution: 687 jours terrestres.
Durée de rotation sur elle-même: 24 heures et 37 minutes.
Distance par rapport au Soleil: 549.5 millions de km.
Satellite(s) naturel(s): 2 ( Deimos et Phobos )
Température (en moyenne): -25°C
Atmosphère: Oui.
Surnom: "La planète rouge".

/-2) Les planètes externes :

Jupiter est la cinquième planète de notre système solaire.
Elle est la plus grosse planète de notre système solaire.
Atmosphère: 90% d'Hydrogène et 10% d'Hélium.
Satellite(s) naturel(s): 16 ( Io, Europe, Ganymède, Callisto, Adrastée, Métis, Amalthée, Thébé, Léda, Himalia, Lysithée, Élara, Ananke, Carme, Pasiphaé et Sinope ).
Diamètre: 143 000 km.
Tenpérature moyenne: -148°C.
Anneau(x) composé(s) d'astéroïdes: Oui.
Durée de révolution: 11.86 années terrestres ( soit 4 439 jours terrestres ).
Durée de rotation sur elle-même: 9 heures et 55 minutes.
Distance par rapport au Soleil: 779 millions de km.
Vitesse orbitale ( Vitesse à laquelle elle tourne autour du Soleil ): 13.1 km/s.

Saturne est la sixième planète de notre système solaire.
Diamètre: 120 000 km.
Atmosphère: 93% Hydrogène et 5% Hélium gazeux.
Anneau(x) composé(s) d'astéroïde: 3 visibles depuis la Terre et 4 non visibles.
Satellite(s) naturel(s): On en recense 62 en 2010 mais ils y en encore beaucoup d'autres... Les 53 satellites naturels nommés sont Hypérion, Titan, Méthone, Anthée, Pallène, Mimas, Encelade, Pan, Daphnis, Atlas, Prométhée, Pandore, Janus, Épiméthée, Égéon, Ymir, Paaliaq, Siarnaq, Travos, Kiviuq, Ljiraq, Thrymr, Skathi, Mundilfari, Erriapo, Albiorix, Suttungr, Narvi, Fornjot, Farbauti, Æegir, Bebhionn, Hati, Bergelmir, Fenrir, Bestla, Hyrrokkin, Kari, Greip, Loge, Jarnsaxa, Surtur, Skoll, Téthys, Télesto, Calypso, Dioné, Hélène, Pollux, Rhéa, Japet, Erriapus, Phœbé et Tarqeq.
Température moyenne: -180°C.
Durée de révolution: 29.46 années terrestres.
Durée de rotation sur elle-même: 10 heures et 25 minutes.
Distance par rapport au Soleil: 1 426 980 000 km soit 1.42698 milliard de km.
Surnom: "Le Seigneur des anneaux".

Uranus est la septième planète de notre système solaire.
Diamètre : 51 000 km.
Atmosphère : 83% d'Hydrogène, 15% d'Hélium et 2% de Méthane.
Anneau(x) composé(s) d'astéroïde : Oui.
Satellite(s) naturel(s) : 15 ( Titania, Obéron, Umbriel, Ariel, Miranda, Desdémone, Cressida, Bianca, Ophélie, Cordélie, Puck, Bélinda, Rosalinde, Portia, Juliette ) et des blocs de roche et de glace orbitant autour d'Uranus.
Température moyenne : -215°C.
Durée de rotation sur elle-même : 17 heures et 15 minutes.
Durée de révolution : 84 années terrestres.
Distance par rapport au Soleil : 2.88 milliards de km.
Vitesse orbital : 6.84 km/s.
Date de découverte : 1781.

j'aime bien se topic =p même si les températures moyennes font peur xD

Royale-Deimon a écrit:: Satellite(s) naturel(s): On en recense 62 en 2010 mais ils y en encore beaucoup d'autres... Les 53 satellites naturels nommés sont Hypérion, Titan, Méthone, Anthée, Pallène, Mimas, Encelade, Pan, Daphnis, Atlas, Prométhée, Pandore, Janus, Épiméthée, Égéon, Ymir, Paaliaq, Siarnaq, Travos, Kiviuq, Ljiraq, Thrymr, Skathi, Mundilfari, Erriapo, Albiorix, Suttungr, Narvi, Fornjot, Farbauti, Æegir, Bebhionn, Hati, Bergelmir, Fenrir, Bestla, Hyrrokkin, Kari, Greip, Loge, Jarnsaxa, Surtur, Skoll, Téthys, Télesto, Calypso, Dioné, Hélène, Pollux, Rhéa, Japet, Erriapus, Phœbé et Tarqeq.
Température moyenne: -180°C.
Durée de révolution: 29.46 années terrestres.

Hey j'suis un satellite naturel Very Happy

Non en vérité les noms de satellites viennent quasiment TOUS de la mythologie Grecque. Surprised

Neptune est la huitième planète de notre système.
Diamètre : 50 000 km.
Atmosphère : 85% d'Hélium et 13% de Méthane.
Durée de rotation sur elle-même : 16 heures et 7 minutes.
Durée de révolution : Environ 165.5 ans.
Satellite(s) naturel(s) : 8 ( Naïade, Thalassa, Despina, Galatée, Larissa, Protée, Triton et Néréide ).
Date de découverte : XIème siècles.
Anneau(x) composé(s) d'astéroïdes : Oui, aussi composé de glace.
Température moyenne : -214°C.
Distance par rapport au Soleil : 4.5 milliards de km.

Gelano PA / PM Messages : 151 Age : 31

Royale-Deimon a écrit:: Masse: 5.9742 x( 10 Puissance 12 ) kg soit 59 742 000 000 000 000 000 000 000 000 kg ( 59 miiliards de millions de millions de kg ).

Je me permets d'intervenir car d'après ce que je lis, tu nous donnes ta formules: 5.9742 x10^12 et ensuite tu nous donnes ton résultat à rallonge, et elle me semble fausse, car 5.9742 x10^12 donne: 5 974 200 000 000 kg soit 5 974 200 000 tonnes ou encore 5.9742 x10^9 tonnes.

-II/ Les astres vagabonds.

/-1) Les comètes.
a) Déscription et composition.

Les comètes, que l'on considère souvent dans l'histoire comme des présages de désastres et de fin du monde, ont de tout temps fasciné et terrifié les êtres humains. Les témoignages de l'existence des comètes datent de l'Antiquité. Les progrès de l'astronomie permettent aujourd'hui de les regarder comme un envoûtant spectacle naturel. Lors de la dernière apparition de la comète de Halley, en 1986, la sonde spatiale européene Giotto passa entre 500 et 600 km de son noyau, livrant des renseignements uniques sur sa composition. Le mot "Comète" vient du latin et signifie "étoile chevelue".

Une comète se compose d'un noyau, d'un coma ( "chevelure" ) et d'une queue. Le noyau n'a que quelque km de diamètre. Les mesures prises par Giotto attribuent au coeur de la comète de Halley une longeur de 15 km sur 8 km de largeur et d'épaisseur. Les comètes sont essentiellement composées de glace et de poussière, d'où leur surnom de "boule de neige sale". Le noyau est entouré du coma, le diamètre de cette "chevelure", qui forme la plus grande partie de la comète peut atteindre 100 000 km. Le coma se forme quand le boule de glace du noyau se rapproche du Soleil: la glace se vaporise alors dans un halo enveloppant le coeur d'un vaste nuage de gaz et de poussières.

Une partie des gaz du coma, éjectée par les vents solaires, forme ensuite une queue de gaz. Repoussée par ces même vents, cette traînée de gaz paraît presque devancer la comète quand celle-ci s'éloigne du Soleil. Les grains de poussière issus du coeur forment quant à eux une queue de poussières incurvée, également dirigée à l'opposé du Soleil. La queue d'une comète peut atteindre 300 millions de km de long.

b) Origine et trajectoires des comètes.
Dans une région plus de mille fois plus lointaine que Pluton se situerait un réservoir de milliards de noyaux cométaire : Le nuage de Oort - du nom de son découvreur (Jan Hendrik Oort (1900-1992)). Le nuage de Oort serait un vestige de la formation du système solaire. L'étude des comètes, susceptible de nous fournir des renseignements sur la naissance des planètes, se révèle ainsi particulièrement intéressante. De ce nuage soumis au champs de gravité du Soleil s'échappe parfois ( peut-être àla suite d'une collision au sein du nuage ) un noyau attiré dans l'orbite intérieur des planètes.

Si la comète, dans sa course vers le Soleil, passe près d'une planète assez grande, elle peut être déviée et adopter une trajectoire à l'ellipse relativement courte faisant d'elle une comète "à période courte" c'est-à-dire effectuant le tour du Soleil en relativement peu d'années. Depuis peu, ces comètes sont d'ailleur soupçonnées de venir non pas du nuage de Oort mais de la ceinture de Kuiper, située juste au-delà de Neptune. La comète de Halley, qui croise la Terre tous les 76 ans, est un exemple célèbre, notamment, du fait qu'elle fut la première dont on réussit à prédire correctement le retour. L'astronome anglais Edmond Halley, ayant calculé sa trajectoire annonça ainsi son apparition pour 1759.

Cette comète revient fidèlement depuis l'an 240 av. J.-C. au moins. Au cours de sa révolution, elle perd environ 200 millions de tonnes de son poids total. La quantité de matière dont elle est composée demeurant encore énorme, la comète de Halley tournera encore autour du Soleil pendant quelque 10 000 ans. Seule une minorité de comètes sont prériodiques, celles à période longue (supérieur à 200 ans) étant dites "non périodique".La plus courte période de révolution (environ 3 ans et 4 mois) est atteinte par la comète Encke. En juillet 1994, la comète Shoemaker-Levy-9 modifia sa trajectoire, entrant dans le champs d'attraction de Jupiter. Elle se brisa en plusieurs fragments qui percutèrent celle-ci, une seule des gigantesques explosions provoquées par leur chite aurait suffi à anéantir toute vie sur Terre.

A la question de savoir si pareille catastrophe pourrait toucher notre planète, le géologue et astronome américain Eugène Shoemaker, décédé depuis, répondit ceci : "Le problème n'ets pas de savoir si cela peut arriver, mais quand cela arrivera."

/-2) Les météores.
Introduction.
Météores, météorites, météroïdes, courant météoriques... ces multiples termes qui se ressemblent prêtent facilement à confusion. Le mot "météore" désigne en astronomie le phénomène lumineux accompagnant l'entrée d'un météoroïde dans l'atmosphère terrestre. Les météores sont souvent appelés "étoiles filantes". Quant aux météoroïdes, ce sont des objets cosmiques de petite taille, dont le diamètre atteint au maximum 1 mètre. Les météoroïdes parvenant jusqu'au sol de la Terre sont appelés météorites. Les essaims d'étoiles filantes revenant chaque année, comme les Perséides à la mi-août, sont dits aussi courant météoriques.

a) Origine.
"Il serait de nos jour impardonnable d'accorder le moindre crédit aux fables pétendant que du fer tombe du ciel" :voilà ce qu'affirmait en 1792 le minéralogiste Xavier Stütz en dépit de tous les phénomènes rapportés comme la chute, en 1492 et 1785, de la météorite de Ensisheim en Alsace, puis de Eichstädt en Allemagne. Ce n'est qu'en 1803 que les scientifiques furent convaicus que l'existence des météorites. L'Académie des sciences reçut des témoignages faisant état, à L'Aigle (Orne), d'une pluie de milliers de pierres (des fragments de météorite) dans une zone habitée. Cette preuve, d'autant plus impressionante qu'elle était exceptionnelle, convainquit enfin les savants. Les étoiles filantes sont des traînées lumineuses apparaissant quand des grains de poussière cosmique pénètrent dans notre atmosphère. La taille de ces grains peut varier de celle d'une tête d'épingle à quelques centimètre. Ces particules de poussière, par exemple les débris de la queue d'une comète, pleuvent sur notre Terre à la vitesse de 20 à 70 km/s.

En pénètrant l'atmosphère terrestre, les météroroïdes compriment devant eux l'air qui s'échauffe : l'étoile filante que nous apercevons n'est donc que la trace d'air ionisé laissée par sa trajectoire, et non le corps incandescent lui-même. On compte en moyenne une dizaine d'étoile filantes par heure. Les météores les plus massifs sont les plus brillants, mais aussi les plus rares : ce sont les "boules de feu", dites encore "bolides". Les corps assez imposants pour ne pas se consumer entièrement sont appelés "météorites". Les météorites sont constituées soit de roche ou de métal, soit d'un alliage de deux; les météorites pierreuses sont les plus répandues. La chute de ces corps interplanètaires n'est pas d'abord due à l'attraction terrestre, mais au croisement de leurs propres orbites.

b) Collisions.
Bien qu'ayant fait l'objet de découvertes plus nombreuses, les météorites métaliques sont beaucoup plus rares que les météorites pierreuses, représentant près de 95% des météorites. Ce paradoxe apparent s'explique par le fait que les météorites pierreuses se remarquent moins facilement sur le sol et s'érodent plus rapidement. La plus grosse météorite jamais trouvée est la météorite ferreuse Hoba, en Namibie. Cet objet repéré en 1920 pèse environ 60 tonnes. Qu'il soit impossibe d'attribuer certains cratères de vaste dimension à deds objets de ce poids prouve que notre Terre a été percutée, dans le passé, par des météorites rocheuses ou métalliques beaucoup plus volumineuses. L'énergie libérée par l'impact d'une météorite de plus de 100 tonnes est capable de vaporisé les roches, ce qui explique que seules des traces de matière interstellaire aient été retrouvées dans ces grands cratères. le cratère météorique Barringer proche de Winslow (Arizona) est un exemple célèbre : avec ces 1.4 km de diamètre et 170 m de profondeur, il dut être creusé par une météorite de 150 000 tonnes et d'une cinquantaine de mètre d'envergure.

Mais il y eut des collisions bien plus violentes : dans le Nördlinger Ries, en bavière, se produisit il ya 15 millions d'années environ une catastrophe d'une ampleur inégalée : la chute d'une météorite dont l'impact, libérant une énergie équivalant à 1 000 fois celle de l'explosion de la bombe atomique d'Hiroshima, laissa un cratère de 25 km de diamètre ! Il y a de cela 65 millions d'années, c'est une collision plus formidable encore qui fut sans doute à l'origine de l'extinction des dinosaures.

-III/ Populations d'étoiles.
Introduction.
Notre galaxie, la Voie Lactée, compte peut-être 100 milliards d'étoiles. Dans l'univers naissent sans cesse de nouveaux astres au sein d'immense nuages moléculaires. Dans les amas globulaires du halo de notre galaxie, où la masse de gaz nécessaire n'est plus suffisante, la naissance de nouvelles étoiles est rare; mais il s'en forme dans et entre les bras spiraux du disque de la Voie Lactée où l'épaisseur atteint 3 000 années-lumière. Au milieu du XXème siècle, l'astronome Walter Baade (1893-1960) classa les populations d'étoiles en deux groupes :les étoiles de population I, généralement assez jeunes, se rencontrent dans le disque de la galaxie, et les étoiles de population II sont de très vieilles étoiles réparties dans l'ensemble de la galaxie, mais surtout concentrée dans son halo, c'est-à-dire dans la frange extérieure de la Voie Lactée. On désigne aussi parfois sous le terme de "population III" la première génération d'étoiles de la Voie Lactée, à présent disparue.

/-1) Galaxie.
On estime à 100 000 000 000, c'est-à-dire 100 milliards le nombre de galaxie peuplant l'Univers. Bien que leurs tailles soient variables, on considère que le nombre moyen d'étoiles par galaxie est également de 100 milliards. Les galaxies - dont l'étymologie vient du grec Gala et Kyklos - sont classées en fonction de leur forme : on distingue ainsi des galaxies elliptiques, des galaxies spirales, des galaxies spirales barrées et enfin des galaxies irrégulières, autrement dit sans forme définie. Notre galaxie, la Voie Lactée, est une galaxie spirale géante. L'extension moyenne des galaxies spirales est d'environ 100 000 années-lumière. Les galaxies tournent autour de leur centre, la période de rotation est ainsi d'environ 240 millions d'années. Les galaxies ne sont généralement pas isolées et font partie d'amas de galaxies : la Voie Lactée, par exemple, est une galaxie du Groupe Local - un système qui comprend une trentaine d'autres galaxies dont la plus grande et la plus connue est la nébuleuse d'Andromède (Mise en image en-dessous de mon pseudo). Les amas de galaxies se regroupen en "superamas", on suppose que ces superamas s'organisent à leur tour selon une structure de nid-d'abeille, réalisant les plus importants systèmes à grandes échelle connus de l'Univers.

a) Amas de galaxies.
A l'instar de la Voie lactée ou de la galaxie d'Andromède, la plupart des galaxies sont regroupées en amas de galaxies où les retient leur force d'attraction mutuelle. Chacun de ces amas, aussi appelé "Cluster", abrite de quelques douzaines à des miliers de galaxies. La Voie lactée fait partie du Groupe local, composé de quelques 30 galaxies de formes et tailles différentes pour un diamètre total de 6*10^6 d'années-lumière (6 millions d'a.-l.). La galaxie d'Andromède, la plus grande du Groupe local, est distante de 2.2*10^6 d'années-lumière (2.2 millions d'a.-l.). D'autres galaxies se trouvent à l'extérieur du Groupe local. Quand le nombre de galaxies y est inférieur à celui du Groupe local, on préfère le terme de "groupe de galaxies" à celui d'amas.

La taille moyenne d'un cluster est comprise entre 10 et 30 millions d'a.-l. . Sous l'effet de la gravité, ces amas de galaxies s'assemblent souvent en superamas : ainsi notre Groupe local fait-il partie du superamas de la Vierge (M87), dit par suite Superamas local. le diamètre des superamas, qui regroupent en poyenne une douzaine d'amas de galaxies, dépasse les 100 millions d'a.-l. . Mais il semblerait qu'à leur tour, ces superamas s'organisent en structures "nid-d'abeilles" - il en résulte que, dans le cosmos aux cotés d'une innombrable myriade d'objets célestes existeraient des vides incommensurables. Comment et pourquoi se sont-ils formés ? Quelles conclusions peut-on en tirer sur le mode de répartition de la matière dans les premiers temps de l'Univers ? Telles sont les questions auxquelles les cosmologistes tentent actuellement de répondre en effectuant de complexexs simulations par ordinateur.

/-2) Systèmes d'étoiles.
En observant le ciel nocturne, on peut discerner jusqu'à 6 000 étoiles. Comme les galaxies, les étoiles ne sont généralement pas isolées mais regroupées en grappes plus ou moins lâches.
On disingue ainsi des amas ouverts et des amas globulaires, où les étoiles sont liées par leur mouvement propre. Les hommes, pour s'orienter dans le ciel, inventèrent leur système personnel et nommèrent les groupes d'étoiles d'après leur ressemblance avec certains mythes, animaux et objets (Bien que parfois, il faut avoir beaucoup d'imagination pour reconnaître les animaux désignés) : les constellations étaient nées. Les étoiles d'une constellation n'ontsouvent aucun lien gravitationnelentre elles ; elles peuvent être même très éloignées les unes des autres et se déplacer dans des directions opposées : les constellations changent donc d'aspect (Mais en raison de l'énormité des distances, ces deplacements ne seront visibles que dans plusieurs milliers d'années).

a) Amas stellaires.
Les amas stellaires sont des grappes d'étoiles assemblées par les lois de la physique. L'astronome français Charles Messier (1730-1817) fut le premier à dresser au XVIIIème siècle, un catalogue des objets interstellaires, où figurait aussi les stellaires. Les grappes d'étoiles peuvent former des amas ouverts, des amas globulaires ou encore des associations. Les étoiles sont beaucoup plus nombreuses dans les amas globulaires que dans les amas ouverts.
Les Pléiades, dans la constellation du taureau (Taurus), constituent l'exemple le plus célebre d'amas ouvert. Dites communément "constellation des Sept Soeurs", on y distingue en fait, dans de bonnes conditions d'observation, jusqu'à 10 étoiles à l'oeil nu. Situées à quelque 410 a.-l. de notre système solaire, les Pléiades appartiennent à un "courant", c'est-à-dire un groupe d'étoiles partageant un mouvement commun. Un téléscope permet d'en distinguer environ 200, même si elle sont bien plus nombreuses.